jeudi, avril 28, 2005

Les mots sont les passants mystérieux de l'âme. Victor Hugo

Ô triste indifférence de mes semblables
Pour cette misère grandissante de douleur,
Amorçant une injustice épouvantable
Dans cette société où l'on cache les pleurs.

Ô pauvre ignorance sagement voilée,
Apaise la conscience de ce singe savant.
Toi Perfide pluie de brèves noie la vérité
Et plonge dans l'inconscience tout ce qu'il se ment.

Ô cruelle corruption souillant ces Hommes
Âpres de luxure, d'argents et de pouvoirs,
Tu les distrais à s'intéresser aux sommes,
Alors que le peuple s'impatiente d'Espoir.

Ô Maux du monde je vous adresse ma haine
Contre le mal prodigué aux Êtres innocents,
Je vous guerroierai pour que cesse la peine,
Afin que la Vie s'éveille aux Êtres naissants.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

je te remercie de m'avoir encourager a ecrire...ce texte auquel tu as fait reference dans ton mail est très beau...merci