mardi, novembre 16, 2004

Curieuse impression ces sables mouvants qui m'enlisent... Se débattre, s'agiter, cogiter, ne suffisent pas pour s'extraire, et continuer sur le chemin... Tout est signe paraît t'il... Alors forcément, il y a une raison dans cette stagnation. Combien de pas avancés sont effacés par les pas reculés ? Le lâcher-prise peut être, est ce la solution ? Mais Dieu que c'est difficile de lâcher prise... Ou plutôt peur de prendre goût à cette "thérapie", et tout lacher... se libérer....s'envoler... être libre... être libre de mon destin, être libre est mon destin, être libre est notre destin... Mais les règles de la société nous enchaînent, et nous forcent à avancer sur ce câble de funambule, ou l'erreur n'est pas permise. Si tu ne maîtrises pas l'équilibre, il te reste plus qu'a sombrer... Mon esprit vacille entre mon indécrottable optimisme et mon aléatoire pessimisme. Un combat de titan a lieu tous les jours en mon âme, donnant de l'agilité ou de la lourdeur à mon esprit d'où resonne une incessante et effrayante mélodie : surtout ne pas perdre l'équilibre... ne pas perdre l'équilibre... perdre l'équilibre... équilibre...
La vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre.
[ Albert Einstein ]

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